Plus favorables les unes que les autres, les données américaines finissent par faire décaler les taux longs

Malgré une extrême résistance ces dernières semaines, les marchés obligataires ont fini par craquer dans le sillage de données économiques américaines particulièrement favorables, comparables à ce que les Etats-Unis avaient coutume de procurer avant la crise de 2008 mais dont ils nous avaient privés depuis.

De telles évolutions s’accommodent mal du maintien des taux d’intérêt à leurs bas niveaux présents

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