Dernière d’un cycle de hausse des marchés, se décomposant elle-même en cinq temps, la Vème vague se caractérise, selon les « Elliottistes », par une imprévisibilité et une exubérance hors normes. Au cours de ces périodes, la reflation financière finit par l’emporter sur les résistances économiques structurelles à travers de puissants effets richesse, de sorte que les économistes, eux-mêmes, peinent pour la plupart à discerner la rationalité de son contraire ; les autres, considérés comme rabat-joie, devenant de moins en moins audibles. Marchés obligataires et banquiers centraux finissent, en général, par y perdre également leur latin ; c’est alors que sonne le plus souvent le début de la fin de la partie…