L’énigme immobilière : entre surenchère, taux bas, solvabilité, mobilité, CO2

Quel sera in fine l’impact du coronavirus sur les marchés immobiliers ? La réponse à la question fait encore largement débat. Entre les plus optimistes qui voient dans les perspectives du maintien durable de très bas niveaux des taux d’intérêt l’assurance d’un effet favorable et les plus pessimistes pour lesquels la détérioration de la solvabilité constitue un facteur de risque pour des biens trop souvent surévalués, le diagnostic est incertain. Les critères qui, en définitive, emporteront la mise se sont incontestablement complexifiés avec la crise du coronavirus et, avant de conclure à un impact positif ou négatif selon l’issue économique de la crise, ce sont surtout d’importantes distorsions qui semblent se profiler : entre l’immobilier professionnel et celui du logement, entre les cœurs de villes et les régions, entre l’ancien et le neuf, entre les pays, selon la dépendance plus ou moins grande à la clientèle et aux investisseurs étrangers et les contraintes environnementales…

 

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