Amélioration du climat des affaires, reprise de l’investissement industriel, réveil des échanges mondiaux, la conjoncture internationale a retrouvé un air de printemps ces derniers mois, incitant nombre d’économistes à revoir à la hausse leurs prévisions, notamment pour la zone euro. Manque pourtant à ce panorama des résultats patents en provenance des consommateurs qui, à de rares exception près, ont manqué à l’appel ces derniers temps. Retard ponctuel ou caractéristique durable ? C’est principalement de la réponse à cette question que dépend la tonalité du scénario européen pour l’an prochain.L’accès de cet article est réservé aux abonnés.
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