Sans surprise, l’inflation en zone euro a de nouveau gagné du terrain en janvier, à 1,8 % l’an après 1,1 % en décembre. Si l’effet pétrole reste indiscutablement l’explication première de l’accélération de l’inflation de ces derniers mois, le contexte se modifie progressivement, dans un contexte conjoncturel, plus propice. Favorable au secteur bancaire au cours des dernières semaines de l’année dernière, ce changement de contexte inflationniste ne porte plus ses fruits depuis janvier, les valeurs du secteur ayant au mieux stagné ces dernières semaines, voire nettement reflué comme c’est le cas en France, après toutefois une très belle performance au second semestre 2016. L’accès de cet article est réservé aux abonnés.
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